Malgré la législation, la dot est encore répandue dans de nombreuses régions de l’Inde et des pays adjacents. Il fait référence au transfert de biens, d’argent et de biens à un époux, à ses parents ou à ses proches de la famille de la mariée comme condition du mariage. L’une des conséquences du système de dot a été le meurtre ou le suicide assisté de jeunes épouses, soit parce que plus de biens de dot n’ont pas été fournis à son mari ou à sa famille, soit pour sécuriser les biens après le mariage. En 2015, 7634 femmes sont mortes à cause du harcèlement à la dot, ce qui représente environ 21 cas par jour en Inde. La majorité des décès liés à la dot surviennent au cours des trois premières années du mariage. Les types courants d’homicides mortels liés à la dot impliquent un incendie (« brûlure de la mariée », noyade, empoisonnement et pendaison / strangulation. En plus de la législation, une approche organisée et multidimensionnelle est nécessaire en enquêtant sur les policiers, les organisations de protection des femmes, les fonctionnaires responsables et le système judiciaire avec des applications cohérentes de sanctions dissuasives. Une enquête médicolégale complète et correctement menée est obligatoire, qui doit inclure des examens de scène, des autopsies complètes avec documentation photographique et des investigations auxiliaires telles que des analyses de l’espace de tête. Des brûlures importantes chez les jeunes femmes indiennes vivant dans des circonstances traditionnelles devraient augmenter la possibilité de crimes liés à la dot.