La dérive cardiovasculaire (MCV, CVdrift) est le phénomène par lequel certaines réponses cardiovasculaires commencent un changement dépendant du temps, ou « dérive » après environ 5 à 10 minutes d’exercice dans un environnement chaud ou neutre (90 Fahrenheit +) sans augmentation de la charge de travail. Elle se caractérise par une diminution de la pression artérielle moyenne et du volume d’AVC et une augmentation parallèle du cœur rate.It il a été montré qu’une réduction du volume de course due à la déshydratation est presque toujours due à l’augmentation de la température interne. Il est influencé par de nombreux facteurs, notamment la température ambiante, la température interne, l’hydratation et la quantité de tissu musculaire activée pendant l’exercice. Pour favoriser le refroidissement, le flux sanguin vers la peau est augmenté, ce qui entraîne un déplacement des fluides du plasma sanguin vers les tissus cutanés. Il en résulte une diminution de la pression artérielle pulmonaire et une réduction du volume d’AVC dans le cœur. Pour maintenir le débit cardiaque à pression réduite, la fréquence cardiaque doit être augmentée.
Les effets de la dérive cardiovasculaire se concentrent principalement autour d’un EPR plus élevé (Taux d’Effort Perçu); autrement dit, une personne aura l’impression de dépenser plus d’énergie alors qu’elle ne le fait pas. Cela crée un bloc mental qui peut considérablement inhiber les performances.
La prévention ou la minimisation de la dérive cardiovasculaire comprend le remplacement constant des fluides et le maintien de l’équilibre électrolytique pendant l’exercice, l’acclimatation à l’environnement dans lequel on s’entraîne et la musculation pour compléter les efforts cardiovasculaires.